Les deux temps du récit utilisés dans les vers 1 à 11 sont le présent de l'indicatif ("Va-t'en") et l'imparfait de l'indicatif ("Parlait").
La valeur du présent de l'indicatif est de donner une impression de présent, de réalité immédiate. Dans ce cas, cela donne une impression de dialogue qui se déroule sous nos yeux.La valeur de l'imparfait de l'indicatif est de décrire une action passée, qui s'est déroulée dans la durée. Dans ce cas, cela sert à installer le contexte et le décor.What are the narrative tenses?2.Trois expansions du nom sont :
"insecte" (nom commun) + "chétif'" (adjectif épithète) dans "Va-t'en, chétif' insecte""fantaisie" (nom commun) + "à ma" (complément du nom) dans "Je le mène à ma fantaisie""charge" (nom commun) + "qu'il sonna" (subordonnée relative) dans "À peine il achevait ces mots / Que lui-même il sonna la charge"3. a) Le vers 1 utilise le discours direct. On le sait car le texte est entre guillemets.
b) "Penses-tu, lui dit-il, que ton titre de Roi / Me fasse peur ni me soucie ?" devient "Penses-tu, lui dit-il, que ton titre de Roi / Me fasse peur ni me soucie ?", demanda le Moucheron.
4. Deux propositions subordonnées relatives sont :
"dont l'une est qu'entre nos ennemis / Jusqu'à craindre sont souvent les plus petits" qui complète "deux choses par là nous peut être enseignée""qu'aux grands périls tel a pu se soustraire / Qui périt pour la moindre affaire" qui complète "et l'autre, qu'aux grands périls tel a pu se soustraire"a) "Pensez-vous, lui dit-il, que votre titre de Roi / Vous fasse peur ni vous soucie ? / Un bœuf est plus puissant que vous : / Nous le menons à notre fantaisie."
b) Les vers 15 à 18 à l'imparfait de l'indicatif donnent :
"Il écume, son œil étincelle, / Il rugit, on se cache, on tremble à l'environ; / Et cette alarme universelle / Est l'ouvrage d'un Moucheron."
Ce texte appartient au genre de la fable, qui est un récit court en prose ou en vers, souvent avec une morale explicite à la fin.
D'après le texte, le lion représente la fonction politique de la royauté, car il est décrit comme un roi qui parle de son titre de Roi et qui est puissant mais se fait ridiculiser par un petit insecte. Une citation qui le montre est "Penses-tu, lui dit-il, que ton titre de Roi / Me fasse peur ni me soucie ?"
L'attitude du lion peut être qualifiée d'orgueilleuse, arrogante, colérique, impuissante, et finalement ridicule.
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